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 Une histoire vraie 

 

En écrivant ce document sur une partie de ma vie, j'ai enfin ouvert les yeux, car j'aurai pu mourir, rester handicapée parce que j'ai souvent baissé les bras. A un moment donné je me suis retrouvée comme une enfant, on ne me laissait pas seule, on me tenait en marchant, réapprendre à écrire, à parler sans bégayer.

Dans cette histoire j'ai été obligé de mettre mes enfants en pension,

car je ne pouvais plus m'en occuper c'est très triste.

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Le commencement de trouble maladif 

Ce n’est pas d’aujourd’hui que je souffre du mal de tête, j’ai toujours mis ça sur le compte de ma vue et de mon foie.

J’ai toujours dit qu’il y avait plus malheureux que moi : Je ne m’écoute pas et c’est un tort me disent souvent mes amies, mais je les regarde en riant et leur dis : je suis têtue et je n’en fais qu’à ma tête, mais voilà un jour tout s’arrête. Christine il faut te résonner et écouter me dit une petite voix dans ma tête.

L’année 2000 a été très difficile, j’ai eu un très grand état de fatigue, douleur des hanches, des jambes, du dos et un grand état nerveux. Suite à cela, moi qui n’ai passé des bilans que pour mes grossesses, me voilà obligée d’aller chez le docteur ! Mais quand cela va-t-il s’arrêter ?

Au mois de septembre 2000 le docteur me fait faire des analyses qui ne sont pas bonnes : il me donne un traitement, mais sans effet, car je n’y retourne pas du fait de mon entêtement à vouloir m’en sortir toute seule et surtout sans médicament.

Au mois de novembre de cette année-là, je consulte un ophtalmologiste ; car mon œil droit me fait mal et je n’y vois presque plus. Le docteur me préconise un implant pour améliorer ma vue. Je rentre à la clinique le matin, et je ressors le lendemain.

J’ai eu du mal à bien me réveiller et je suis restée quelques jours dans les nuages comme si j’étais ailleurs hors de mon corps.

Un espoir

L’année suivante a été pareille, mais avec un état de fatigue important. Je me suis bougée et par l’ANPE, j’ai trouvé un stage pendant 6 mois : « informatique et secrétariat comptabilité », ce que j’ai toujours voulu faire. Au mois de janvier 2002 j'étais très contente car enfin j'ai trouvé un travail dans la branche que je désirais le plus. je me dis la roue tourne.

Mais voilà plus les mois passent plus cette fatigue continue, un jour en revenant du travail je me suis faite peur toute seule, car je m’endormais au volant de ma voiture, je ne sais pas comment j’ai fait, mais je me suis trouvée sur le bas côté et j’ai réussi à arrêter mon véhicule. Une autre fois en allant à Valence, je me suis perdue sur l’autoroute et je ne savais plus où j’étais, j’avais eu un gros trou de mémoire. Là vraiment j’avais peur. En sortant au péage, j’ai demandé mon chemin, j’avais fait plus de 100 km sans m’en rendre compte et j’étais à l’opposé de mon chemin.

Des amis sont venus passer quelques jours de vacances à la maison, et les derniers temps, ils m’emmenaient au travail et venaient me chercher, car je n’arrivais pas à conduire je m’endormais au volant. J’ai revu le médecin et il voulait m’arrêter de travailler : j’ai refusé, car je disais toujours : « je vais remonter la pente ! » Il était très inquiet surtout quand je lui ai dit que je m’endormais au volant. Mes amis sont repartis. La semaine d’après a continué, mais pour moi c’était de plus en plus dur.

Je ne voulais pas m’arrêter, car on me renouvelait mon contrat et en plus on me faisait une embauche définitive à partir du mois de juillet.

 La maladie déclarée

Tout a commencé par une journée très ensoleillée le samedi 6 juillet 2002. Ce jour là, j'étais à la maison seule avec mes deux enfants. Je n'arrivais pas à me lever, j'avais du mal à ouvrir mes yeux. Le téléphone a sonné et mon fils ainé a répondu que je dormais toujours, il était presque 13h. Cet après-midi là, des amies devaient venir à la maison, quand elles sont arrivées, je ne bougeais plus. Pour ne pas affoler mes deux enfants, une personne est restée avec eux, les autres m'ont emmené à l'hôpital en urgence. Dans la voiture on me parlait tout le temps, on me secouait pour que je réagisse. Un peu plus tard, les infirmières ont dit à mes amies que j’avais tous les symptômes d’une personne alcoolique ou droguée. Suite à cela, une prise de sang a été pratiquée qui diagnostiqua les non-prises de substances médicamenteuses. Ce qui les inquiéta. De plus, mon rythme cardiaque faiblissait dangereusement, je n’ouvrais pas les yeux, mais j’entendais tout ce qui se disait : ils ne savaient pas quoi faire.

Par la suite ils m’ont mis dans une chambre aux urgences, on m’a fait d’autres prises de sang, un médecin de service est venu me voir ; il s’inquiétait beaucoup, car il n’avait jamais vu ça. Ils m’ont emmenée au scanner. Arrivée sur la table, je fus saisie d’une crise d’étouffement : grosse panique. Ils m’ont secouée en me demandant « madame pourquoi faites-vous ça ? »

Mais comme je ne réagissais pas trop, ils m’ont remontée dans la chambre sans rien comprendre. Les infirmières venaient me voir souvent, on m’a mis le compte goutte, toujours l’électrocardiogramme et une autre prise de sang. Comme les analyses de la prise de sang étaient bonnes pour le service des urgences, je simulais mon état de maladif et le lendemain matin un psychiatre est venu. Il m’a posé des questions sur ma vie personnelle, sentimentale et professionnelle : j’ai essayé de répondre entre deux sommeils.

Sur ce, il est allé voir le médecin de service pour lui signifier que ceci n’était pas de son ressort, mais de celui de la médecine et qu’il fallait pratiquer des examens complémentaires. Il ne comprenait pas pourquoi on l’avait dérangé.

Deux jours après, un infirmier m’a emmenée dans un autre service toujours dans le même état. Le médecin m’a fait passer un autre scanner. Un peu plus tard, j’ai signalé aux infirmières que je sentais comme de l’électricité au niveau des chevilles et des jambes. J’avais l’électrocardiographe même la nuit et le compte goutte.

La  petite  dame du lit voisin a dit aux infirmières « Je n’ai pas dormi de la nuit, car elle s’est étouffée : j’ai eu peur de son état. Je l’ai surveillée au cas où elle se serait arrêtée de respirer »Ensuite, j’ai encore passé des examens et subi d’autres prises de sang. Il est vrai que pour une personne craignant les piqûres et bien je ne sentais rien, je n’avais plus aucune sensation de douleur.

Le matin, on m’a accompagnée à la douche, car j’étais consciente, mais peu réactive : pertes de l’équilibre, de mémoire. Je bégayais beaucoup, et peinais à trouver mes mots : tout en moi était au ralenti.

Quelques jours plus tard, le médecin m’a fait passer un IRM pour plus de précision, car au scanner il a vu une tache à l’arrière du cerveau enveloppée par un liquide infectieux. Dans l’ambulance, j’étais inerte et avais même beaucoup de mal à soulever seulement une paupière.

Le lendemain le diagnostic du docteur tombe, il me dit que j'ai une tumeur avec un liquide infectieux, pour lui elle était cancéreuse. Comme je n'avais pas trop de réaction, je n'ai pas plus réagit à l'ampleur de la maladie.

En plus mon état s'est aggravé. Il me fait transporter d'urgence en neurologie car l'anesthésiste m'attend pour l'opération de 13h. Arrivé sur place j'ai refusé totalement qu'on touche à ma tête, les médecins se sont réunis et ont décidé de faire plus d'examens.

Ils m’ont refait un scanner, et des prises de sang pour contrôler. Des spécialistes sont venus me voir pour tout ce qui est moteur, nerveux et cérébral. On m’a fait une ponction lombaire tout le monde dit que ça fait mal, mais je n’ai rien senti : il est vrai que je n’avais plus de sensibilité. ils ont trouvé une infection à la moelle épinière. Le médecin en Neurologie m'a dit qu'une infection à la moelle épinière ne se guérit pas. J'en ai parlé à mon oncle car j'étais désespérée et il me dit c'est vrai mais continue tous les jours à prendre tes tisanes. Ils m’ont donné un traitement, le lendemain le Docteur me dit: suite aux résultats d’analyse nous avons décidé de vous laissez sortir sous surveillance « J’étais contente, car les hôpitaux c’est pas ma tasse de thé »Il m’a donné un traitement à base de cortisone pendant trois mois. Par contre, si mon état venait à persister, le docteur se réservait l’éventualité de pratiquer une biopsie au niveau de la tumeur.  « Je suis sortie de l'hôpital le 19 juillet 2002 »

Le retour à la maison

J’ai toujours cette grande fatigue, ce vide à l’intérieur de moi comme morte, le sommeil qui est présent tous les jours avec un ralentissement de mouvement, de parole. Les médicaments sont durs, car je ne garde pas les yeux souvent ouverts, cette tristesse sur mon visage. Le matin j’avais du mal à me lever, je n’arrivais pas à réagir quelquefois on venait me chercher pour que je ne reste pas seule. J’étais quand même bien entourée.

Les médicaments me réduisaient, je n’avais pas beaucoup de réaction. Même si je n’étais pas énergique, j’ai quand même réagi un peu, car je ne voulais pas être dépendante des médicaments qui vraiment ne m’arrangent pas du tout car en voyant tous les effets secondaires je n'étais pas rassurée.

On m'a emmené voir un Prêtre, ils ont discuté, car moi j’étais toujours ailleurs comme dans une autre vie ou un autre monde, au bout d’un moment le Prêtre s’est absenté, puis revient un bout d’un moment avec un papier à la main, il faut faire des tisanes à Christine au moins un à deux litres par jour pendant autant de mois qu’il faut jusqu’à guérison complète.

Je vous donne de la fleur de Soucis et de LAneth de notre jardin. Dans le commerce, vous trouverez : Millefeuille Achillée, l’Ortie, de l’Oscalis (l’Oseille).

Vous prenez au lever le matin la Tisane d'Aneth bien chaude dans un grand bol.  Dans la journée faire une tisane avec la Fleur de Souci, Millefeuille Achillée, l’Ortie la boire très chaude avec quelques gouttes d’oscalis.

« Je vous fais une recommandation très importante n’oubliez pas un jour les tisanes pour la complète guérison de Christine., je prierais pour elle. » Nous sommes rentrés.

Le lendemain début août 2002, j’ai cherché le numéro de téléphone de mon Oncle Michel qui tient une herboristerie dans la région parisienne, pour moi c’était le seul qui pouvait m’aider avec les plantes. Je lui explique exactement tout ce qui se passe sur ma santé actuelle, ce que le Prêtre m’a donné à prendre en tisane.

Il m'envoie un colis de Tisanes: Lapacho, Desmoduim, une huile de Lavande et Marjolaine (de sa composition). Dans la journée je buvais  un litre de tisane avec Lapacho et Desmoduim. Tous les jours on me massait  le Plexus Solaire et toute la Colonne Vertébrale avec l’huile de Lavande, Marjolaine.

Dès que j’ai tout reçu pour commencer ma cure de plantes, j’ai fait une chose qui était à mes risques et périls, mais que j’ai prise sous mon entière responsabilité, car c’était ma vie qui était en jeu, même avec les gros troubles que j’avais mon entourage ne m'a pas compris mais ils ont respecté mon choix.

Etant très croyante, pour moi tout ce qui sort de la terre vit, le seigneur nous a mis un trésor naturel dans les mains donc il faut s’en servir. Jusqu’au 20 août 2002 j’ai pris les médicaments plus les plantes, cela faisait déjà un mois de traitement par les médecins et j’étais toujours pareille, donc je décide de prendre la moitié des médicaments, mais je continue entièrement les plantes que l’on m'a prescrites.

Tous les soirs, on me masse le plexus solaire et la colonne vertébrale, au début c’était très douloureux, j’en pleurais tellement que j’avais mal. Le premier jour; sur ma colonne vertébrale entre les omoplates, il y avait une tache blanche grosse comme une balle de ping-pong.

Le 9 septembre 2002, le taxi ambulance me prend à mon domicile pour un rendez-vous à l’hôpital chez le Docteur service chirurgie. Il me demande comment vous sentez-vous ? « Je m’endors toujours, moins longtemps, je bégaye encore quelquefois, toujours cette perte de mémoire, j’ai du mal à marcher, douleur à mon œil droit, pour écrire c’est pas encore ça et j’ai cette grande fatigue. Il me dit « Madame si cela persiste il est toujours question d’une opération »Le soir je repars sans parler des plantes que je prends en parallèle.

Tous les jours je continue les massages , j'ai toujours des douleurs importantes au début et à la fin de la colonne vertébrale, la tache blanche commence à s’atténuer, le plexus solaire est moins douloureux. Je continue les plantes avec tout mon cœur ; mais le moral ne revient pas. A partir du 19 octobre 2002, je n’ai plus de médicament, mais mon médecin traitant m’a donné des médicaments pour les nerfs que je n’ai jamais pris et je continue toujours le traitement par les plantes. Les médicaments m'ont fait gonfler j’ai énormément grossi, sur le côté de mes cuisses il y a deux grosses boules toutes dures pleines d’eau, mon ventre très gros comme si j’étais enceinte de six mois, je suis désespérée.

Le 23 octobre 2002 scanner Thoraco Abdo Pelvien, le médecin veut savoir si je n’ai pas des métastases ailleurs, je suis contente aucune anomalie, le scanner est parfait. Je suis toujours ailleurs, la tête dans du coton, mais je suis contente moins de douleur dans certaines parties de mon corps. Je téléphone à mon Oncle Michel, car je dors très mal et surtout je perds mes cheveux à pleine poignée pourtant je n’ai jamais eu de chimio. Il me dit : « je t’envoie des gélules pour tes cheveux et des gouttes pour le sommeil à prendre dans un verre d’eau  ».

Le 6 novembre 2002 consultation chez le docteur en Neuro chirurgie, je lui emmène le scanner il me dit : « Le liquide infectieux a disparu, mais la tumeur y est toujours »Je ne vous redonne pas un traitement on va laisser quelques mois pour voir l’évolution de la maladie.

Quel soulagement pour moi ? Les somnolences sont moins rapprochées, les douleurs à la colonne vertébrale sont moins fortes. Je n’ai plus de douleur au plexus solaire. A partir de ce jour, je me suis mise au régime. Les autres symptômes y sont toujours, Christine patience tu vas y arriver me dit cette petite voie « sois forte ».

Le 29 novembre 2002, j’ai rendez-vous pour un examen Visuels Somesthésiques et Auditifs. Ils ont décelé une anomalie importante aux yeux. Mais toujours pas de médicaments à part ceux de mon médecin traitant. Le médecin (noir) du service qui était là en perfectionnement a demandé mon dossier. Il est venu me voir, il m’a posé beaucoup de questions sur ma façon de vivre, ce que je buvais, si je fumais et autres, il m’a fait rire parce qu’il trouvait que je faisais jeune. Il a demandé mon âge aux infirmières il était surpris. Dans la conversation, je lui ai dit que je buvais beaucoup de tisanes sans lui préciser lesquelles, que je ne fume pas. Il m’a regardé et il a dit, j’ai compris, puis il est reparti tout de suite sans me questionner plus.

Le 29 janvier 2003 IRM du crâne, tumeur disparue, il reste juste une cicatrice, je suis transportée heureuse. Dans la soirée je téléphone à mon oncle qui partage ma joie puis il me dit « Christine écrit tout ce qu'il t’est arrivé depuis le début de ta maladie, car c’est très bon pour les médias ».

Le 4 février 2003, j’ai rendez-vous avec le docteur en Neurologie service médecine. Mais je lui dis que je veux revenir comme j’étais avant, gaie souriante agréable et surtout que cette fatigue parte complètement, elle me donne du PROZAC pendant 3 mois, j’ai commencé, mais j’ai vite arrêté, car c’était pire alors j’ai arrêté.

A ce jour je n’ai toujours pas repris à conduire, car j’ai des difficultés avec mes yeux, je suis très fatiguée. Je continue le régime j’ai perdu deux kilos, mais je n’ai pas dégonflé. Et oui je craque comme je n’ai jamais craqué auparavant. J’ai peur la nuit, de grosses crises d’angoisses, je dors très mal et quelques fois ma tête est dans du coton, je ne me supporte plus comme ça et surtout j’ai des idées noires. J’ai beaucoup de vertige tout tourne autour de moi, même allongée dans mon lit, je ferme les yeux un bon quart-heure et je relève la tête puis ça me passe. 

Je vais au médecin tous les mois, car il me prescrit des antidépresseurs que je n’ai jamais pris, je ne veux pas être dépendante de cela, par contre mon oncle a des tisanes pour tout ce qui est stress, déprime et la préparation qu'il m'a donnée pour ma maladie qui me font autant d’effets que les médicaments .

J’ai repris la conduite depuis septembre 2004, car je dois emmener mes enfants à l’école, mais j’ai peur et surtout je ne suis pas sûre de moi. Il faut maintenant que je reprenne confiance en moi. Je ne vais pas loin, juste de l’école à la maison je ne vais pas plus loin car je m’endors vite au volant et tout le long de la route je dors. C’est très dur, car mon petit garçon me demande toujours si je ne m’endors pas. Mes enfants ont été marqués par mon état de santé et ils ont peur quand je ne suis pas bien. Ludovic se sent très mal quand il voit que je pleure où que je ne suis pas bien, mais heureusement on en parle ensemble. J’ai fait soigner mes enfants en homéopathie, car ils ont gardé des angoisses et des peurs.

Aujourd’hui année 2005 je suis toujours triste au fond de moi, je n’ai toujours pas de travail, car il y a un trou de 3 ans sur mes CV et quand on me demande pourquoi, je parle de cette maladie et ensuite je n’ai que des réponses négatives. Je ne sais plus comment faire, mais je garde toujours l’espoir. Je vais voir un thérapeute fleur de bach qui me fait une préparation.

Dans le flacon il met : Star of bethleem pour les chocs, Olive pour la fatigue, Mimulus pour les peurs, Rock rose pour la terreur, Gorce pour la déprime, Clématis pour être dans le présent, Larch pour le manque de confiance.

Depuis un an même avec la fatigue j’ai recommencé à aider les gens soit en voyance soit en magnétisme, je ressens un bonheur et un bien-être, car je me sens transportée et le fait de voir les gens beaucoup mieux, surtout leur apporter une aide et un bien-être c’est pour moi une grande joie, j’ai toujours aimé ça aider les autres mêmes si des fois je n’en ai pas été récompensée, mais je suis sur cette terre pour le bien d’autrui et non pour mon confort personnel, c’est pour ça que je me donne à fond quand quelqu’un tape à ma porte, pour moi je me rends utile. Je n’habite pas trop loin de Valence où de Lyon j’aide les bénévoles pour les gens démunis. Je prie beaucoup, car j’en ai besoin et je sens un bien-être à l’intérieur de moi à ce moment-là.

Tous les jours je prends ma tisane pour mon petit déjeuner et un bol au coucher, je prends toujours les vitamines de l’herboristerie. C’est une chose que je n’arrêterai pas et je continuerai jusqu’à la fin de mes jours.

Les années ont suivi avec cette grande fatigue. Année 2009 j'ai trouvé sur mon chemin des personnes qui soignent en parallèle, c'est vrai que cela fait un gros budget mais je veux tellement guérir.

Année 2010, une porte s'est ouverte, je me suis fait aider par un magnétiseur, Année 2011 une personne travaillant avec les énergies a continué le travail. J'ai suivi tout ce qu'on me disait, j'ai poursuivi cette démarche par la suite avec l'ostéopathe. J'ai continué en parallèle avec l'acupuncture et l'hypnose pour finir. Tout cet état de fatigue est complétement parti, je continue mon travail pour aider les autres, c'est ma vie. 

Aujourd'hui je revis heureuse mais je suis une autre femme, plus sereine, en paix avec moi-même. J'ai beaucoup dégonflé et je m'en porte mieux. Je suis vraiment Christine avec ma façon d'être, ma façon de penser comme au début de ma naissance. Je sais que j'ai au fond de moi une grande force et personne ne pourra me changer. La vie m'a appris beaucoup et je l'en remercie.

Conclusion

Tous les mois j'étais suivie en neurologie à Lyon avec des IRM de contrôle et après tous les ans. J'ai eu des examens pour savoir si j'avais des métastases dans mon corps et je n'avais rien.

J'ai fait un IRM de contrôle en 2009 pour l'infection que j'avais à la moëlle épinière et je n'ai plus rien. Les médecins ne me donnent aucune explication sur ma maladie, mais ils me disent qu'en refusant l'opération j'aurais pu mourir.

Toutes les personnes qui sont dans ma situation où qui se reconnaissent, je leur donne ce conseil : c'est vrai la vie est pleine d'embûches, il y a des expériences qui sont très dures mais on a tous en nous une très grande force qui nous fait sortir triomphant.

Année 2011, je suis complètement guérie, même mon état de fatigue a disparu et pour moi c'est grâce aux tisanes, au soin de tous les thérapeutes qui ont été sur mon chemin.

Le mot de la fin

Je remercie pour la guérison de cette maladie,

Mon Oncle Michel qui m'a guéri avec la connaissance de ses plantes,

toutes les personnes qui ont été sur mon chemin pour leur dévouement, leur écoute, leurs conseils.

Je vous envoie à tous beaucoup d'amour et de lumière

du plus profond de mon coeur et de mon âme.

Merci à tous

Christine

Date de dernière mise à jour : dimanche, 13 janvier 2019